Le 4e congrès de printemps de la SSMIG, qui aura lieu du 5 au 7 juin 2019 au Congress Center de Bâle, sera entièrement placé sous le signe de l’innovation en médecine, avec ses opportunités et ses risques. Le comité scientifique, dirigé par la Docteure Esther Bächli, PD, et le Professeur Thomas Fehr, aimerait traiter ces aspects, ainsi que d’autres questions en rapport avec la discipline MIG lors du futur congrès de printemps. Les abstracts peuvent être soumis dès maintenant et jusqu’au 31 janvier 2019 sur le site Internet du congrès.
Le 20 septembre dernier, la SSMIG organisait le symposium intitulé Nouvelles technologies en médecine de famille. A cette occasion, la Revue Médicale Suisse du 5 décembre était accompagnée d'un supplément entièrement dédié à la santé personnalisée. Si vous souhaitez lire gratuitement ce cahier thématique, vous pouvez le retrouver en ligne.
Cet après-midi, dans le cadre de l'assemblée qui s'est tenue à Berne, les délégués de la Société Suisse de Médecine Interne Générale (SSMIG) ont élu Regula Capaul et Drahomir Aujesky à la tête de leur association. Au cours de leur mandat de co-présidente et co-président, l’interniste généraliste installée dans son cabinet de médecine de famille à Zurich et le médecin-chef à l’Hôpital universitaire de Berne veilleront à ce que la société de discipline médicale dispose d’un ancrage optimal, autant dans le domaine ambulatoire et qu'hospitalier, et à ce qu’elle puisse continuellement se développer.
Le 29 novembre 2018, l’Assemblée des délégués de la SSMIG élira une nouvelle présidence. Les co-présidents actuels, Jean-Michel Gaspoz et François Héritier, démissionnent de leur fonction et quittent le comité. Dans leur interview, ils font la rétrospective des trois années ayant suivi la création de la SSMIG, dressent le bilan de leur mandat et parlent de leurs projets d’avenir.
Un article concernant la SSMIG est publié dans l'encyclopédie en ligne Wikipedia en allemand et en français.
L’accréditation du titre de spécialiste en Médecine Interne Générale (MIG), qui doit être renouvelée tous les 7 ans, s’est conclue avec succès cet automne.
La SSMIG émet un avis fondamentalement favorable quant aux lignes directrices de l’ASSM «Attitude face à la fin de vie et à la mort». Il existe toutefois des opinions très différentes au sein de la société de discipline médicale concernant l’adoption du terme «souffrance insupportable» dans le code de déontologie, ce pourquoi le comité a décidé de laisser la liberté de vote pour la votation au sein de la Chambre médicale.
Petite mise à jour de notre site internet des congrès de la SSMIG: Nous avons parcouru notre album photo électronique des deux dernières années et constitué une collection d'images pour les congrès de Lausanne, Berne, Bâle et Montreux. A voir sous la rubrique «Galerie de photos». Nous espérons que vous apprécierez ces photos prises dans les salles de conférences, durant les séminaires, ateliers, expositions de l'industrie, au lounge de la SSMIG, à la course de congrès, au dîner des présidents ou en soirée.
Afin d’assurer une prise en charge effi cace de la BPCO, les décisions thérapeutiques doivent être basées sur l’évaluation des symptômes et du risque d’exacerbation. La gestion des soins est coordonnée et individualisée. Les traitements pharmacologiques et non pharmacologiques influencent de manière favorable l’évolution de la BPCO. Son pronostic peut être amélioré. Le nihilisme thérapeutique, un traitement insuffisant ne peuvent plus se justifier. Basé sur l’évidence clinique, l’essentiel des recommandations quant au diagnostic et à la prise en charge de la BPCO est présenté de manière simple et pratique dans l’édition 2018 du guide de poche BPCO. A télécharger gratuitement ici.
Plus que la moitié de population en Suisse a l’impression qu’elle-même ou des personnes de leur entourage ont reçu un traitement inutile. Cela montre une enquête représentative de l’association smarter medicine – Choosing Wisely Switzerland effectuée cet été. Des études indiquent en plus que les traitements non indiqués médicalement sont à l’origine de 20 à 30% des dépenses de santé. Début octobre smarter medicine – Choosing Wisely Switzerland lance une campagne qui vise à mieux faire comprendre le thème de la surmédicalisation et des soins inappropriés et à le rendre plus accessible pour le grand public.