À quoi doit ressembler cet avenir ? Après ces dernières années, consacrées avant tout à la consolidation interne, au développement d’une culture commune propre, ainsi qu’à la mise en place d’un secrétariat professionnel, nous voulons prendre appui sur ces solides fondations pour poursuivre le développement de cette société et défricher pour elle de nouveaux champs thématiques. Les défis qui se présentent à la Médecine Interne Générale (MIG) sont multiples. Editorial de la nouvelle co-présidence de la SSMIG, Regula Capaul et Drahomir Aujesky, dans le magazine «Primary and Hospital Care».

Prix SSMIG 2019: Contribution pour le meilleur travail scientifique original

Ce prix de la Société Suisse de Médecine Interne Générale (SSMIG) 2018, d’un montant de 10 000.00 francs peut être attribué à un, deux, ou au maximum trois travaux scientifiques originaux. Le travail doit être adressé jusqu’au 31 mars 2019 au bureau administratif de la SSMIG sous forme électronique avec mention «Prix SSMIG 2019». Pour plus d'informations sur la soumission des travaux cliquez ici.
La SGAIM Foundation, fondation pour la recherche médicale, lance pour 2018/2019 un appel à projets sur le thème des «innovations dans le domaine de la ‘Medical Education’ en médecine interne générale (MIG)». La SGAIM Foundation cherche à soutenir ainsi des projets de recherche qui étudient ou comparent l’impact de programmes et méthodes d’enseignement innovants et de mentoring dans la formation pré-graduée, post-graduée et continue en MIG. Cela englobe également des projets innovants d’évaluation de la précision diagnostique et de l’utilité de l’anamnèse ainsi que de l’examen clinique. Vous trouvez ici les détails concernant l‘appel à projets.
Le 4e congrès de printemps de la SSMIG, qui aura lieu du 5 au 7 juin 2019 au Congress Center de Bâle, sera entièrement placé sous le signe de l’innovation en médecine, avec ses opportunités et ses risques. Le comité scientifique, dirigé par la Docteure Esther Bächli, PD, et le Professeur Thomas Fehr, aimerait traiter ces aspects, ainsi que d’autres questions en rapport avec la discipline MIG lors du futur congrès de printemps. Les abstracts peuvent être soumis dès maintenant et jusqu’au 31 janvier 2019 sur le site Internet du congrès.
Le 20 septembre dernier, la SSMIG organisait le symposium intitulé Nouvelles technologies en médecine de famille. A cette occasion, la Revue Médicale Suisse du 5 décembre était accompagnée d'un supplément entièrement dédié à la santé personnalisée. Si vous souhaitez lire gratuitement ce cahier thématique, vous pouvez le retrouver en ligne.
Cet après-midi, dans le cadre de l'assemblée qui s'est tenue à Berne, les délégués de la Société Suisse de Médecine Interne Générale (SSMIG) ont élu Regula Capaul et Drahomir Aujesky à la tête de leur association. Au cours de leur mandat de co-présidente et co-président, l’interniste généraliste installée dans son cabinet de médecine de famille à Zurich et le médecin-chef à l’Hôpital universitaire de Berne veilleront à ce que la société de discipline médicale dispose d’un ancrage optimal, autant dans le domaine ambulatoire et qu'hospitalier, et à ce qu’elle puisse continuellement se développer.
Le 29 novembre 2018, l’Assemblée des délégués de la SSMIG élira une nouvelle présidence. Les co-présidents actuels, Jean-Michel Gaspoz et François Héritier, démissionnent de leur fonction et quittent le comité. Dans leur interview, ils font la rétrospective des trois années ayant suivi la création de la SSMIG, dressent le bilan de leur mandat et parlent de leurs projets d’avenir.
Un article concernant la SSMIG est publié dans l'encyclopédie en ligne Wikipedia en allemand et en français.
L’accréditation du titre de spécialiste en Médecine Interne Générale (MIG), qui doit être renouvelée tous les 7 ans, s’est conclue avec succès cet automne.
La SSMIG émet un avis fondamentalement favorable quant aux lignes directrices de l’ASSM «Attitude face à la fin de vie et à la mort». Il existe toutefois des opinions très différentes au sein de la société de discipline médicale concernant l’adoption du terme «souffrance insupportable» dans le code de déontologie, ce pourquoi le comité a décidé de laisser la liberté de vote pour la votation au sein de la Chambre médicale.