En raison de la pandémie de SARS-CoV-2, la première assemblée des délégué(e)s de l’année 2020 ne s’est pas tenue dans le cadre habituel: les délégués ont pris leurs ­décisions par voie de circulaire. Davantage sur lesdites décisions.
Avec l’actuelle pandémie de COVID-19, les spécialistes en médecine interne générale sont fortement sollicités. Cet entretien avec la Dr Sabine Werner vous éclairera sur les moyens de faire face au stress, et sur ce que les hôpitaux et les cabinets peuvent faire pour leurs employés.
Au plus tard à partir de 2022, les médecins exerçant dans le domaine ambulatoire devront mettre en œuvre des activités en faveur de la qualité et les présenter de ­façon transparente. C’est ce que prévoit la révision de la Loi fédérale sur l’assurance-maladie (LAMal) concernant le renforcement de la qualité et de l’économicité, qui a été adoptée par le Parlement. Dans le cadre d’un projet pilote de la FMH et des assureurs, la commission de qualité de la SSMIG et les représentants de mfe ont élaboré quatre mesures de qualité, qui seront mises en œuvre et déclarées à titre expérimental dès 2020.
Lars Clarfeld, Geschäftsführer von smarter medicine und SGAIM-Generalsekretär, und Daniel Scheidegger, Vorstandsmitglied von smarter medicine und Präsident Schweizerische Akademie für Medizinische Wissenschaften (SAMW), äussern sich in einem Radio-Beitrag über die Über- und Fehlbehandlung in der Medizin (de 10:02).
L'article publié dans le European Journal of Internal Medicine examine les défis de la mise en œuvre du principe "Less is More".
Par crainte d’une contamination par le SARS-CoV-2, de nombreux patients renoncent à leur consultation médicale en cabinet ou dans un hôpital. Mais les conséquences de ce comportement peuvent être lourdes, avertit la Société Suisse de Médecine Interne Générale (SSMIG). En cas de symptômes sévères, les patient-e-s doivent impérativement consulter un médecin.
Le comité de la SSMIG dresse le bilan d’une année riche en événements: outre la participation à la discussion autour de la (mesure de la) qualité (en médecine), la ­révision du programme de formation continue en MIG, la révision du cursus de ­formation postgraduée ainsi que des manifestations et congrès passionnants, une nouvelle stratégie a été adoptée. Par ailleurs, la SSMIG a augmenté l’effectif de ses membres en 2019 et s’est exprimée de manière ciblée et répétée lors de procédures de consultation. Pour en savoir plus, consultez l'article de la rubrique "Soins primaires et hospitaliers".
Le Panel SwissDRG de la SSMIG cherche à obtenir une compensation équitable de la MIG. L'article de Christine Gersching, coordinatrice du Panel, dans le numéro avril de "Primary and Hospital Care" explique comment cela se passe dans la pratique.
Depuis 2012, l'Observatoire suisse de la santé Obsan compare la situation des médecins de premier recours en Suisse avec celle d'autres pays. Le nouveau rapport Obsan, qui a été produit dans le cadre des enquêtes IHP menées par la fondation américaine Commonwealth Fund, montre où le bât blesse pour les médecins suisses - et où ils sont uniques.